Installer une carte SD Raspberry avec Raspbian sous GNU/Linux
CommentairesUne version plus simple et plus à jour de ce tutoriel est disponible ici.
Comment se fera l’installation de Raspbian sur la carte
Après un premier article consacré à la création d’une carte SD Raspbian sous Windows, voici son pendant libre, la création d’une carte Raspbian sous Linux (ou, a priori, tout autre UNIX).
Cette installation se fera cette fois entièrement en lignes de commande. Nous n’utiliserons donc pas d’outil graphique tel que Gparted par exemple.
Nous avons déjà expliqué dans l’article précédent pourquoi créer sa propre carte SD plutôt qu’une carte pré-installée.
Quelle carte SD choisir ?
Le choix d’une carte MicroSD influence fortement les performances de la Raspberry Pi. Nous vous conseillons donc de choisir une carte SD parmi les cartes suivantes, elles ne sont pas beaucoup plus chères que les autres et nettement plus performantes !
- Pour une installation standard, une carte 16 Go
- Pour une installation avec un peu de multimédia, une carte 32 Go
- Pour une installation avec du stockage de film, une carte 64 Go
Pourquoi utiliser la ligne de commande pour créer la carte SD de sa Raspberry Pi ?
Cette fois la question est de savoir pourquoi choisir une installation en lignes de commande plutôt qu’une installation graphique.
Plusieurs raisons peuvent expliquer ce choix.
Tout d’abord, on ne possède pas toujours d’interface graphique. Sur un serveur par exemple, vous n’allez pas vous encombrer d’une interface qui consommera des ressources pour rien 99 % du temps. De même, pour une distribution live, vous n’aurez peut-être pas d’interface pour éviter d’avoir besoin de trop d’espace disque.
La seconde raison, c’est qu’utiliser la ligne de commande va vous permettre de progresser, et surtout de vraiment comprendre comment fonctionne le partitionnement de votre système. Et ça, si vous utilisez la Raspberry régulièrement, que ce soit sur une Raspbian avec ou sans interface, c’est une chose qui vous sera toujours utile.
Comme déjà dit dans l’article pour Windows, la Raspberry Pi utilise une carte SD comme disque dur pour le système d’exploitation (ici Raspbian). Pour cela, vous aurez donc besoin, d’une carte SD, ainsi que d’un PC sur Linux (ou un autre UNIX) qui possède un lecteur de carte (ou un lecteur de carte SD externe. Dans ce cas, nous vous conseillons d’investir dans un lecteur qui gère de nombreux types de cartes, afin de pouvoir l’utiliser pour d’autres tâches à l’avenir).
Si jamais vous ne possédez pas de PC sous Linux, et ne souhaitez pas faire de Machine Virtuelle, ni de dualboot, vous pouvez toujours utiliser une Live Distribution sur une clef USB (il est d’ailleurs toujours intéressant d’avoir une clef USB avec une live-distribution sur soi. Si vous voulez vous créer une clef pour avoir une live-distribution permanente, privilégiez une clef usb3 avec une très bonne vitesse d, qui influera fortement sur la fluidité de votre Live Distribution).
Les images et programmes nécessaires
Attention, certaines commandes présentes dans ce tutoriel nécessitent des droits d’administration élevés. Elles doivent donc être exécutées avec root, ou avec les droits de ce dernier.
Pour exécuter une requête avec les droits root sans être root, utilisez la commande
sudo commande
En premier lieu, pour pouvoir installer l’OS sur la carte, vous allez devoir télécharger la dernière image de Raspbian. (Attention, vous ne pouvez pas utiliser la carte SD pour stocker l’image de Raspbian, ou vous devrez alors la copier sur le système avant de travailler sur la carte.)
Si vous n’avez pas d’interface graphique sur la machine qui sert à l’installation, et que vous souhaitez télécharger l’image depuis cette machine, vous pouvez utiliser la commande :
wget http://raspberry-pi.fr/download/raspbian_latest.zip
Trouver la carte SD sur laquelle travailler
Dans un premier temps, vous allez insérer votre carte dans le lecteur.
Contrairement à Windows, le plus souvent Linux ne monte pas automatiquement les clefs USB ou cartes SD (du moins, dans la plupart des cas). Si jamais Linux monte néanmoins la carte, vous devrez la démonter.
En premier lieu, vous allez donc devoir trouver votre clef. Pour cela, il va falloir rechercher dans le répertoire « /dev ».
Une méthode relativement efficace consiste à rechercher les derniers fichiers modifiés. Pour cela, on utilise la commande :
sudo ls -ltr /dev/
Le nom de votre carte devrait apparaître dans les derniers résultats. Il sera sans doute de la forme mm*, ou sd*.
Il est possible que vous ayez plusieurs fois le même nom, avec un chiffre à la fin (ex. : mmcblk0, mmcblk0p1). La carte à utiliser pour la commande suivante est celle sans chiffre à la fin (ex. : mmcblk0), c’est-à-dire la carte entière, et non pas une de ses partitions.
Installation (copie) de Raspbian sur la carte SD
Pour installer Raspbian sur la carte, nous allons utiliser la commande « dd », pour copier l’image de Raspbian sur la carte (donc sans le numéro de la partition choisie derrière le nom) :
sudo dd bs=1M if=chemin_vers_le_img_de_raspbian of=/dev/votre_carte status=progress conv=fsync
L’écriture de Raspbian sur la carte SD peut être un peu longue. Là encore, c’est tout à fait normal.
Une fois que le terminal vous aura rendu la main, vous pouvez retirer votre carte SD, Raspbian est installé dessus, et vous n’avez plus qu’à la brancher sur votre Raspberry Pi et à démarrer cette dernière.
Il ne vous reste plus qu’à équiper votre Raspberry Pi selon vos projets et à découvrir comment bien débuter avec Linux !
Il faut ouvrir un port pour se connecter ?
Quand je tente de me connecter avec :
$ ssh pi@192.168.1.62
il me renvoie :
ssh: connect to host 192.168.1.62 port 22: Connection refused
Salut, pour se connecter en SSH il faut activer SSH sur la Pi, et il faut être sur le même réseau que la pi.
Bonjour
un petit mais avec ubuntu 12.04, proc atom 32bits
dans la commande dd l’option bs devrait être b (512) car 1M ou 1m crée un kernel panic
et dans cette config status=progress crée aussi un message d’erreur qui interrompt la commande dd.
Merci
ps : l’image raspbian-latest d’avril 2019 permet enfin une liaison bluetooth rapide et fonctionnelle avec la bose SLIII. Super! Merci aux développeurs.
Je pense qu’il est de bonne augure de rajouter l’avancement de la copie tellement c’est lent. Voici la commande que je suis en train de lancer :
dd bs=4M if=raspbian-stretch-lite.img of=/dev/mmcblk0 status=progress conv=fsync
Merci pour l’option d’avancement de la copie, nous allons rajouter ça. Mais normalement cela n’a pas a être trop lent !
Bonjour,
en quel format dois-je formater la microSD, en effet la dernière jessie fait plus de 4GB et ne peut donc pas être copiée sur la carte .
Jan
Salut,
tu n’as pas besoin de formater la carte SD, Raspbian embarque son propre formatage !
bonjour aux modérateurs puisque j’interviens pour la 2ème fois
Oui, c’est un problème difficile à comprendre lorsque l’on a le nez dans le guidon : on oublie parfois que les autres n’ont ni notre compétence, ni notre système de pensées…
Même un utilisateur de Debian devrait parfois s’y perdre par rapport à RPI3
PUis-je solliciter comme l’on fait d’autres avant moi que le langage soit au niveau du néophyte.
Des informations comme celles- ci sont si fondamentales qu’elles en sont oubliées….
Donc merci à vous les utilisateurs pro de cette distrib de ne pas oublier de donner toutes les infos : j’ai flingué 3 carte SD irrécupérables parce que je résonnais en ubuntu et non en raspbian..
D’ailleurs j’ajouterai que si le système était si facile à utiliser et à mettre en fonction, les commandes en ligne seraient identiques… le formatage aussi et gparted reconnaîtrait alors le formatage ou la table de partitions.
En ne le sachant pas, je me suis acharné, et curieusement, formatage effectué, les 3 SD avaient des tailles atypiques – 125 Go pour 128, 7.5 pour 8 et 52 pour 64 Go…. Non je n’avais ni fumé ni bu…
Le formatage de la raspbian est si atypique que ni fdisk, ni gparted, ni (via windows) sdformatted n’ont réussi à récupérer les sd.
voili voilà
bonne journée
et encore merci pour ce site très agréable à lire et à parcourir
Bonjour,
Oui il est vrai que parfois on oublie des précisions qui nous semble évident comme le fait de vérifier que SD1 correspond à la carte SD et pas à un disque dur. Mais on essaye de plus en plus de détailler toutes les instructions que l’on donne afin que de tels coquilles n’arrivent plus. 🙂
Merci pour tes encouragement 😉
Bonjour! j’echoue sytematiquement au test md5sum, que ca soit sur la full ou la lite version de raspbian.. Avez vous une idée? Bonne fin de journée
Tris
Salut,
ce n’est pas une somme MD5, mais SHA-1 😉
Bonjour à tous,
Je travaille actuellement sur une émulation du raspberry sous linux. J’ai réussi à faire tourner le raspbian sous linus grace à l’utilisation de QEMU qui est un hyperviseur de virtualisation.
Je suis sur le point d’installer une machine virtuelle avec Libvirt sous Ubuntu qui tournera sous raspbian mais je rencontres des soucis au niveau du boot. Est-ce que quelqu’un a déjà rencontré ce problème? Merci de votre aide
bonjour Martial,
j’ai réussi à virtualisé SOUS windows par le QEMU
mais impossible de le faire sous linux
je pense, et cela n’engage que moi, que l’approche de QEMU est différente suivant les Os
Par exemple, je l’ai vu dans certains forum, QEMU sous W ne permet pas d’augmenter la taille automatiquement
alors que sous Linux (debian pour ma part) agrandit la machine virtuelle en fonction de ce qu’on lui demande.
C’est la 1ère fois que je me vois bloqué par un logiciel qui fonctionne parfaitement sous windows et pas du tout sous linux.
Pourrais-tu faire un tuto ?
Merci par avance
Pour le site, bravo il prend de l’ampleur et de manière positive
Continuez
Bonjour,
J’ai suivi votre tutoriel malheureusement une opération s’est mal passée pour moi :
sudo dd bs=1M if=chemin_vers_le_img_de_raspbian of=/dev/votre_carte
Le /dev/sd1 représentant en réalité mon disque dur externe, branché à la machine… Erreur fatale qui me vaut la peine de ne plus pouvoir accéder au disque.
Sauriez-vous par le plus grand miracle, si mes données sont récupérables…?
Le disque de 1To était rempli à 60Go environ et n’a pas été utilisé une seule seconde de plus, après m’être rendu compte de l’erreur donc j’imagine qu’il n’y a pas eu de réécriture sur les fichiers existants.
J’espère qu’une alternative existe, en attendant merci.
Bonjour,
Je n’ai qu’un mot à dire : aïe !
L’opération a t elle eu le temps de formater le disque, ou as-tu stoppé la commande avant que le drame n’arrive ?
Il doit bien exister des logiciels qui permettent de récupérer des fichiers supprimé, mais je ne suis pas qualifié dans ce domaine :/
Peut-être que tu peux remonter le disque manuellement avec la commande mount…
Dans ces moments là, il faut rester positif : ton disque n’était pas très rempli, ça aurait pu être l’inverse : il aurait pu rester 60Giga de libre et là ça aurait fait très mal !
Courage 🙂
Coucou, je conseille juste d’utiliser la commande « sync » après avoir copié avec dd, ça permet de s’assurer qu’il n’y a pas encore de données a écrire sur la carte et de ne pas tout casser 🙂 voili voilou.
bisous !
Bonjour, merci beaucoup pour cet article (et l’ensemble du boulot !)
Super si l’article a pu t’aider !
Bonjour
tout est parfait … sauf le login !
A la demande raspberrypi login : pi me semble de bonne augure
mais comme mot de passe, ni raspberry ni raspberrypi n’autorise l’ouverture d’une session !
puis-je avoir votre aide ?
merci
Salut, es-tu sûr que le clavier n’est pas en anglais ?
Bonjour,
Merci pour ce tutoriel précis et détaillé, mais attention la commande finale n’est pas :
sudo dd bs=1M if=chemin_vers_le_img_de_raspbian of=/dev/votre_carte1
mais
sudo dd bs=1M if=chemin_vers_le_img_de_raspbian of=/dev/votre_carte
Encore merci
Merci du retour, nous corrigeons.
Bonjour,
Je viens de découvrir votre site, bravo pour tous ces tutos. J’ai bien envie d’initier mon fils à cet univers, pour monter soit un media center, soit un cloud perso… soit dit en passant, je ne comprends pas pourquoi ce genre de projet n’est pas proposé à l’école. Une histoire de moyens probablement.
Histoire de moyen ou de lobbying des éditeurs de logiciels privateurs…
Bonjour
Je possède un Raspberry Pi 2.
Cette méthodo est elle valable pour celui ci?
Salut,
oui c’est tout à fait valable !
Bonjour à tous !
Attention, pour les débutants de linux comme moi, veillez à bien respecter les majuscules/minuscules pour le chemin d’accés au fichier ISO, comme pour /home/user/Bureau par exemple. Le « B » majuscule de Bureau est indispensable, en tout cas sur Mint 17.
Salut,
merci du retour, en effet linux propose des chemins sensibles à la casse.
Bonjour!
Merci pour vos tutoriels parfaitement détaillés !
J’ai un modèle B+ avec raspbian 7 sur mini-sd. Après configuration, j’ai de drôle de caractères à la place du français dans certains menus et programmes, le reste est bien en français. Comment arranger ces caractères en français ?
Aussi, après configuration de raspbian 7, en mode console, le user login est changé. J’ai bien changé de mdp lors de la config mais pas de user car cela n’est pas demandé. Mais même en voulant me loguer en root (user:root – mdp:newMdp ou raspbian) il me retourne l’invité de login en indiquant login incorrect. Une idée à ce sujet ? J’ai bien vérifié la config de mon clavier etc, ce ne doit donc pas être de ce côté là.
Merci à tous pour votre collaboration,
Vaxire
Salut,
à priori la seul explication que nous voyons pour le login est que ton clavier passe en qwerty. Nous ne voyons hélas rien d’autre, et tu sembles avoir déjà vérifié de ce coté :/
Essayes peut-être un mot de passe bateau genre juste un espace, et regarde si le problème se produit aussi sur ce type de mots de passe.
Pour les caractères, je pencherais pour un problèmes dans les locales. Tu devrais essayer d’aller configurer la langue de le menu de la Raspberry Pi accessible via la commande
raspi-config
.n’oublie jamais qu’une fois le clavier et les paramètres de langues déterminés, il faut fermer la session, et la réouvrir (au besoin, reboot si ça ne fonctionne pas).
Perso, j’avais commandé un clavier riitek qui inclut un touchpad dedans (et hop, économie d’un port usb) en qwerty. Et en +, il est compatible tous systèmes (chose que j’ai vérifié avant achat !).
Au boot, tu peux voir que le système l’a vu, connaît son nom.
Bon bidouillages les raspberrien(ne)s !
Bonjour,
je répète ce qui est dit par « François » le 26 mars 2014, il ne faut pas partitionner la carte et surtout ne pas préciser le numéro de la partition car ça ne marche pas.
merci de corriger l’article (je l’ai fait au moins 5 fois avant d’aller voir le site officiel et lire qu’il ne faut surtout pas préciser le numéro de partition!)
Makanien
Bonjour,
comme tu peux le voir un paragraphe (en italique) a été ajouté il y a déjà quelques jours pour prévenir qu’il n’est pas nécessaire d’effectuer ce formatage.
Nous conservons néanmoins les paragraphes dédiés à ce formatage car ils peuvent être utiles dans un cadre autre que celui d’une installation de Raspbian.
Pour trouver le device que le noyau a attribué à la clef USB, il est plus « académique » de surveiller /var/log/messages en exécutant, avant de brancher la clef, un « tail -f /var/log/messages » et en surveillant l’apparition de messages du type:
Nov 6 18:29:36 hongkongspx kernel: SCSI device sdc: drive cache: write back w/ FUA
Nov 6 18:29:36 hongkongspx kernel: sdc: sdc1
Nov 6 18:29:36 hongkongspx kernel: sd 9:0:0:1: Attached scsi disk sdc
Nov 6 18:29:36 hongkongspx kernel: sd 9:0:0:1: Attached scsi generic sg5 type 0
Dans cet exemple, le périphérique est /dev/sdc1.
Attention: toutes les distribs ne loguent pas forcément ces messages dans /var/log/messages. Il peuvent aussi apparaitre dans /var/log/syslog, ou il faudra activer les messages kernel dans /etc/syslog.conf
Ok, merci pour cette précision.
Hi,
Pour les logs du kernel, un moyen simple qui fonctionne quelle que soit la distro, et l’activation des logs :
sudo cat /proc/kmsg
pazzz
Bonjour à tous !…
Tout d’abord merci pour l’initiative « raspbian-France » !
… Et moi qui bidouillais sur mon très vieux mais utile ZX80 !
Bon, juste une précision : GNU-Linux n’est pas Unix !
Citation : <>
Ne pas confondre et mettre dans la même catégorie, » l’informatique propriétaire et celle faisant partie du monde du libre et/ou de l’Open Source).
Unix est un système « proprio » (BSD, utilisé par exemple par NApple). Son homologue « Libre » est clairement précisé : Free-BSD, mais il reste « Unix » !
Du gaz-oil c’est pas du Super sans plomb ! Mais cela fait fonctionner votre véhicule.
A vos projets !
Tuxicologuement votre.
Bonjour,
effectivement GNU-Linux n’est pas Unix (d’ailleurs, GNU is Not Unix). Cependant, Linux est bien un système Unix, et c’est pour cela que nous précisons que cette installation devrait fonctionner (avec parfois quelques modifications) sur les différents systèmes Unix.
Tous les Unix ne sont pas des Linux, mais tous les Linux sont des Unix 😉
Bonjour,
J’ai tenté d’installer une raspbian sur ma carte SD.
Problème : j’échoue au checksum de contrôle par md5…
Ça fait 3 fois que j’essaye et je trouve toujours le même md5, différent de celui affiché sur le site :
17c10ad76e905b74df6fef9062ea1566
C’est ma connexion qui merde ? ou bien l’image qui est vérolée ? ou encore la page pas à jour ?
Pareil, je trouve que 25,7Mo, c’est pas beaucoup pour un système complet…
Du coup, je me suis arrêté là…
Bonjour,
notre image avait mal été uploadé sur le site. C’est corrigé.
Bonjour,
Je me permets de rajouter la méthode que j’ai utilisé sous MAC OS X :
1- Pour lister les lecteurs montés :
df -h
Pour moi la carte SD est montée sur : /dev/disck1s1
2- Démonter la carte SD :
diskutil unmount /dev/disk1s1
3- Installer l’image Raspbian qui se situe dans le dossier de téléchargement (remplacer les X par les numéros de version) :
sudo dd bs=1m if=~/Downloads/201X-XX-XX-wheezy-raspbian.img of=/dev/rdisk1
4- Ejecter la carte SD :
diskutil eject /dev/disk1s1
Et voilà le travail,
Bonjour à vous,
je vient de lire votre tuto sur la création de la carte SD sous Linux, vous dite:
« Attention, certaines commandes présentes dans ce tutoriel nécessitent des droits d’administration élevés. Elles doivent donc être exécutées avec root, ou avec les droits de ce dernier. »
il serait plus judicieux de spécifier « SUDO » devant les commands qui ont besoin d’être lancer en root.
Perso ca me gène pas vous allez me dire que cé réverbatifs mais pour un novice sous linux il risque de rencontré des problèmes.
juste pour info.
sinon site à suivre… continué comme ca super….
André.
Pour tout dire, si nous n’écrivons pas les sudo, c’est surtout à cause de notre mauvaise habitude de toujours travailler en root.
Cependant, tu peux voir que nous avons mis dans l’article un exemple d’utilisation de sudo.
Nous essayerons de rajouter un petit sudo devant les commandes sur les prochains articles.
L’utilisation de la commande dd qui fonctionne à bas niveau dispense d’utiliser fdisk et mkfs.
L’image raspbian est une image disque complète qui intègre déja une table de partitions et deux partitions formatées. D’ailleurs on peut monter ces deux partitions et y accéder si besoin.
Dés que l’on a l’image on peut lancer dd directement.